Mon
maître, mon ami
Toi
qui m'offre la douce quiétude de ton
foyer.
Respecte mon goût de la liberté
Et ne m'enchaîne à toi
Que par les sentiments qui nous lient.
Ta présence fait mon bonheur,
Mais je médite ;
Ne cherche pas à deviner mes
pensées
J'ai gardé le goût sauvage du
secret.
Ne trouble pas mon sommeil,
Il est nécessaire à mon
équilibre.
Et lorsqu'à toi je viens
Donne moi abondance de caresses.
Pour mon péché de gourmandise
pardonné
Te sera acquise toute mon
amitié.